Confession Intime : 31 ans de différence 3 :
C'est dimanche et nous sommes invites ma femme et moi chez ses parents. L'histoire entre ma belle-mère Rosa et moi je l'ai raconté à Muriel, et elle a été très curieuse, pas du tout fâchée et elle m'a autorisé de continuer pour savoir jusqu'où irait sa mère mais elle m'a fait promettre de l'amener dans notre cave aménagée sm, ce que j'ai accepté de suite.
Arrivés dans la belle famille, il y a déjà les quatre beau-frère ainsi que leurs épouses sans compter les enfants (la galère).
Je me rends à la cuisine et Rosa est là, en tailleur violet, la veste cintrée par une ceinture noire qui fait ressortir outrageusement sa poitrine opulente, la jupe au-dessus des genoux et fendue de cotés et elle porte au pied de magnifique chaussures a talons très haut qui accentue le galbe de ses mollets.
Je m'approche d'elle lui fait la bise et je mets directement la main dans l'échancrure de sa veste, je rentre en contact avec son nichon, elle n'a pas mit de soutien-gorge, je tourne le bout entre mes doigts en y faisant une pression et je le tire violemment, un gémissement sort de sa bouche, mais elle continue de préparer son repas, elle me supplie d'arrêter de peur que quelqu'un entre, mais je n'ai pas encore tout vérifier. J'entreprends de dégrafer sa jupe à la taille et je glisse une main en direction de son sexe, elle n'a pas mit de culotte, je pousse mon exploration jusqu'à son vagin entièrement rasé que je caresse avec avidité ce qui fait gémir ma belle-mère et elle écarte ses cuisses pour s'offrir encore plus. Je lui glisse un a tout à l'heure en reniflant mes doigts enduit de cyprine et d'une odeur très agréable et je pars rejoindre les autres sans me retourner, la laissant seule et en manque dans sa cuisine.
Je me suis débrouillé avec la complicité de Muriel, ma femme pour être à coté de sa mère à table.
Pendant le repas discrètement je remonte sa jupe et je caresse sa cuisse en dirigeant ma main vers son vagin, et je constate qu’elle est en manque de sexe car cette salope desserre ses genoux me permettant d'aller jusqu'à son sexe. A table personne ne s'est intéresse à nous, sauf Muriel qui de temps en temps jette un coup d'œil intéressé dans notre direction.
Dans un lent va-et-vient, je lui caresse ses lèvres vaginales puis son clitoris en pénétrant de temps en temps deux doigts dans sa vulve trempée.
Ma belle-mère s'avance au bord de la chaise et commence a onduler du bassin elle n'en peut plus la bourgeoise j'augmente la pressions de mes doigts sur sa chatte et j'accélère le mouvement je la sens tremblé, se raidir et pousser un râle en se mordant les lèvres vite j'enlève ma main, mais personne ne l'a entendue, j'essuie mes doigts sur la nappe et on finit le repas.
En début d'après midi ma femme va avec ses belles sœurs faire une balade avec les gosses . Ses frères ainsi que le père font un tarot.
Je cherche Rosa et je la trouve dans le jardin cueillant des fleurs pour ses belles filles. Je la prends par le bras et je l'emmène malgré ses protestations vers le garage qui sert aussi de cabane à outil. Alors, ma salope tu croyais que c'était fini pour aujourd'hui je lui lance en lui attachant les poignets avec une corde trouvé là, et je la suspends à un crochet au milieu de la pièce il n'y a que la pointe de ses talons touchent qui le sol.
Je lui défais sa ceinture ouvre sa veste et deux superbes seins apparaissent à ma vue, je commence à les caresser tout en giflant de plus en plus vite les deux lobes qui rougissent aussi tôt. Rosa se met a miauler et feulait, ses yeux clos, se tordent et tressaute tandis que je masse et vrille ses tétons entre mes doigts. Je regarde cela mis effaré mis amusé, ma belle-mère secouée de tressaillements bizarres pendant que je lui excitais les nichons. C'était comme une espèce de revanche sur la dame hautaine de soixante-treize ans toujours sur la réserve que je connaissais jusqu'alors.
J'entreprends de la dépendre et je la fais mètre a genoux sur le béton tout en sortant mon sexe. Allez salope de bourgeoise suce le sexe de ton maître je lui dits tout en la prenant par les cheveux pour approcher sa bouche de mon membre. Elle ouvre grand et gobe mon engin avec difficultés vingt-trois par six c'est vrai qu’il est imposant, elle ne respire que du nez mais, continue ses sucions tout en laissant coule de la bave de chaque coté de sa bouche. Elle sait y faire la salope ,car, je suis obligé de l'arrêter autrement je décharge dans sa grotte.
Je m'agenouille derrière elle lui relève sa jupe et je pénètre en lentement Rosa essaie d'évité la pénétration en se penchant en avant je la prend par les cheveux et la tire en arrière ce qui a pour effet de faire entre mon sexe de moitié, ma belle-mère pousse un cri et m'implore de faire doucement ce que je fais aussitôt. Belle maman, le cul dressé en l'air reçoit ma pine en son ventre et je peux voir l'expression de son visage avec cette petites crispations qu'amène chaque touché de son utérus. Elle pince ses lèvres, ferme les yeux, attentive à chaque coup de mon engin. Elle commence a poussé de petits gémissement à chaque va-et-vient de mon chibre jusqu'à qu'elle gémit de plus en plus fort, une plainte continue sort de sa bouche ouverte, modulée par les coups de queue dont je la gratifie et je me mets à jouir, mes spasmes font tressaillir le corps de ma belle-mère et je me répands en elle sans retenue. Le sperme coule en grosses gouttes le long de ses cuisses . Elle a joui elle aussi, son corps s'est raidi puis s'est détendu d'un coup tandis que je reste figé en elle, la bite au fond du vagin.
Je finis par sortir de son trou béant et je la gratifie d'une claque sur les fesses tout en lui intimant l'ordre de ne pas s'essuyer pour la soirée. Rosa me regarde et me dit : fais de moi ce que tu veux, je veux être ta putain si tu le désire.
La phrase était lâché, elle voulait être ma putain alors elle le sera. Nous rentrons dans la maison ,personne ne s'était aperçu de notre disparition.
Histoire postée par
andre le 27 Aout 2010 dans Partenaire Agée.