Confession Intime : Balade en montagne :
J'ai trop envie de vous raconter ce bel épisode de ma vie amoureuse !
Il se passe un peu après la fin de ma relation avec Monsieur le Proviseur. J'avais donc entre 18 et 19 ans. C'était dans cette période creuse de fin d'été qui se situe entre les vacances et la rentrée universitaire. Et cela se passait avec mon ami d'enfance : Jean-François. (Et oui, les vieux prénoms reviennent à la mode !) On l'appelait Jeannot, et les plus intimes comme moi l'appelions Nono.
Nous décidâmes de partir faire une randonnée en montagne de deux jours puisque la météo s'annonçait bonne et que nous prolongions nos vacances chez mon oncle, dans le Queyras.
Nous partîmes d'un bled qui s'appelle Souliers, par le GR 58, avec pour objectif de passer la nuit à la bergerie des Traverses, au bord du torrent de St Claude.
Tranquille le départ… ! Au fur et à mesure que la température montait, nos vêtements rejoignaient nos sacs.
Je me retrouvai avec un petit tee-shirt blanc, dessous un soutien-gorge "spécial sport" qui tient bien les seins. En bas une culotte un peu enveloppante car les strings pour faire de la marche ne sont pas des plus confortables, et un short blanc très court et très échancré. Plutôt coquin, j'en conviens, mais aussi très confortable.
Nono fut finalement en short et torse nu. Beau, sexy. Mais je le connaissais tant et depuis si longtemps que je remarquais à peine sa beauté.
En tout cas il était toujours très prévenant, très attentif, me donnant la main à chaque occasion pour m'aider, et marchant presque tout le temps derrière moi.
Quand, lors d'un arrêt pour reprendre notre souffle je vis la bosse qui se dessinait sur son short, je compris pourquoi il marchait derrière moi. Il était ému par mes fesses, par le pli qui se formait sans cesse au gré de la marche et que mon short ne couvrait pas, et par le bas de ma petite culotte.
Je fus parcourue d'un grand frisson. Je n'avais jamais encore vu mon Nono comme ça.
Nous marchâmes encore un bon moment. Mais le regard de mon ami sur moi, savoir qu'il bandait à regarder mon petit cul, ne me laissait pas indifférente.
Nous fîmes une pause pour nous désaltérer. Nono bandait plus fort encore. Au bout d'un temps, ne pouvant cacher son émoi et sachant que je le voyais très bien, il me dit, comme pour se justifier :
- " Ecoute Malou… ! Je suis gêné de te dire ça, mais… mais tu es devenue tellement belle ! Nous ne sommes plus des enfants, tu comprends et… eh bien maintenant j'ai envie de toi, voilà !
Je sais ! Nous nous connaissons depuis toujours… Et je ne voudrais surtout pas que tu prennes ça pour une trahison et que tu perdes confiance en moi mais… Tu vois bien dans quel état je suis !! "
Je soutins son regard avec tendresse. Je lui souris, puis nous éclatâmes de rire. Je lui caressai la joue, doucement.
- " C'est un beau compliment que tu me fais là mon Nono ! Et j'y suis sensible tu sais ! Justement, je pensais que, parce que nous nous connaissons trop tu ne me voyais même pas ! J'apprécie vraiment la qualité de ton amitié !"
Et nous repartîmes de plus belle. J'avais un plaisir fou à me faire admirer le cul par mon ami qui marchait derrière moi. Et je savais que ça le faisait bander. Depuis la fin de ma relation avec Monsieur le Proviseur j'avais très peu fait l'amour, et ma nature gourmande en la matière faisait que la situation présente éveillait mes sens, insatisfaits pour l'heure.
Je réclamai une pose sous prétexte d'un pipi pressant, et partis me cacher derrière un gros rocher. Je retirai mon soutien gorge et ma culotte qui se retrouvèrent dans une poche du sac à dos, remis mon tee-shirt et mon short, mon sac, et rejoignis Nono qui m'attendait sagement, assis sur une pierre.
Il se leva à mon arrivée, me regarda, éberlué. Les bretelles du sac tendaient le tissu du tee-shirt sur lequel mes seins s'imprimaient.
- " Ooohhhh… ! Malou !! Comme c'est beau !!!"
Il avait envie de me toucher… Et moi j'avais envie qu'il me touche… J'approchai encore un peu de lui, lui pris la main que je posai moi-même sur mes seins. Je crus qu'il allait éjaculer dans son slip tant l'effet lui fut violent. Je sentis une ondée de mouille couler de ma chatte.
- " Viens Nono ! Il faut marcher encore…!! "
Ce fut dur pour nous deux, mais nous ne pouvions rester sur ce GR 58 où n'importe qui aurait pu nous croiser.
Nous marchâmes encore, mais ce fut magnifique d'érotisme. Derrière moi, Nono avait maintenant la vue sur ma chatte, de temps à autre, et sur la raie qui sépare mes fesses, selon la dimension de mes pas, et selon que le terrain m'obligeait ou non à éloigner mes pieds l'un de l'autre. J'étais de plus en plus excitée de savoir qu'il me désirait et bandait si fort pour moi. Nous nous arrêtâmes souvent pour échanger des baisers et des caresses. Pendant qu'il caressait mes seins, j'aimais sentir sous ma paume sa bite tendue. Plus tard il osa toucher mon ventre, sous le tee-shirt, puis enfin il hasarda une main tremblante entre mes cuisses que je lui ouvris. Je lui mouillai les doigts au jus de mon désir.
Je lui demandai alors d'ôter son slip, comme moi, et de ne garder que son short. Il eut un instant de réticence, m'avançant comme argument que nous n'étions pas à l'abri de croiser quelqu'un. Je lui répondis : " Je le sais ! Il te suffira de tenir un pull à la main devant toi ! J'ai tellement envie de voir et de savoir ton minou libre ! "
Cette fois, c'est moi qui ait failli jouir quand je sentis sous mes doigts cette belle bite dure et tendue, et pendant qu'il caressait mon clitoris. Sa queue, libérée de la compression du slip, avait pris toute son ampleur et s'épanouissait dans son short qui n'avait plus de forme raisonnable.
L'heure du repas de midi étant arrivée, il m'entraîna hors du sentier, à l'abri derrière des rochers assez gros pour nous cacher au regard des indiscrets.
Nous n'en pouvions plus, nous étions transportés par l'affolement de nos sens. Je me jetai littéralement sur sa grosse bite tendue. Je la caressai, la tins dans mes mains comme un oiseau blessé, admirative et excitée, puis, mue par cette extraordinaire pulsion de la posséder, je la fis doucement glisser dans ma bouche chaude, avançant les lèvres pour qu'elle devienne une vulve accueillante. Mon Nono fut terrassé par le plaisir. Il se tordait dans tous les sens. Mais il avait grande envie de moi, de me toucher, et parvint à glisser sa main entre mes cuisses pour entreprendre une exquise masturbation. Plus il me branlait, plus le plaisir montait et plus je le suçais passionnément.
Et ce qui devait arriver arriva. Il s'arque bouta, figé, tendu. Son doigt caressant s'immobilisa sur mon clitoris. Il grogna et je sentis les premiers spasmes de sa jouissance, puis ses giclées de sperme dans ma bouche. Il y en avait tant que j'eus un peu de mal à tout avaler, mais je sentis dans tout mon corps les prémices d'un délicieux orgasme qui s'épanouit et me secoua quand j'eus posé ma main sur la sienne pour imposer à mon clitoris quelques mouvements supplémentaires de masturbation. Hhhhhhhmmmmm…..!!!!
Je me blottis sur sa poitrine et dans ses bras qui se refermèrent sur moi, et nous récupérâmes un bon moment, auréolés d'une tendresse infinie.
Nos sens exacerbés appelaient à de nouvelles caresses, à de nouveaux ébats, mais si nous voulions atteindre la bergerie avant la nuit, il nous fallait nous activer.
Nous prîmes notre repas assez rapidement, agrémenté de mille caresses exquises. Assise en face de lui, en tailleur, mon short échancré et très court ne cachait rien de mon minou épilé et mouillé de mon orgasme. Quand il le pouvait il le caressait, encore et encore, et j'adorais ça. De son côté, sa belle queue avait repris de belles dimensions et glissait sur le côté, cherchant à sortir du short le long de la cuisse. Je la prenais souvent dans ma main et la tenais comme ça, sans bouger, sans caresser, sans branler, juste pour le plaisir de la sentir ainsi, dure, chaude, palpitante.
Puis nous reprîmes la route. Les dernières heures avant d'atteindre la bergerie se passèrent un peu comme le matin : caresses, baisers, attouchements.
Et c'est à nouveau dans un terrible état d'excitation que nous arrivâmes au terme de notre marche sportive.
En plein milieu de semaine, en cette arrière saison, plus de vacanciers, et même plus de berger ni de moutons. La cabane libre juste pour nous deux. Nous aménageâmes le bas flanc qui sert de lit avec nos duvets, sortîmes les casse-croûte que nous posâmes sur la table, et allâmes nous asseoir un moment sur le pas de la porte, histoire de profiter des derniers rayons de soleil. Dans les bras l'un de l'autre, excités, cet instant revêtit une dimension romantique qui me touche encore aujourd'hui quand j'y pense.
Bref ! Après toutes les obligations domestiques indispensables en randonnée, nous condamnâmes la porte de l'intérieur. Enfin libres de laisser nos pulsions s'exprimer !
C'est avec une sensualité déconcertante que Nono me mit nue.
- Il est assis sur le bas flanc, les cuisses ouvertes, le sexe qui dépasse de son short et que je ne peux atteindre car je suis debout devant lui. Il fait glisser mon tee-shirt tout en tétant mes seins. Et cette façon qu'il a de faire glisser mon short, avec la lenteur liée aux caresses qu'il me prodigue avec ses lèvres et sa langue ! Pendant que mon vêtement stationne au milieu de mes fesses, il titille mon nombril, puis s'attarde sur la partie qui rejoint mon pubis. Il veut me découvrir lentement, me goûter, déguster chaque parcelle de moi, de ma peau. J'en suis toute fébrile, incroyablement sensible à cet art de prendre peu à peu possession de moi.
Il caresse de ses mains mon dos, mes reins, mes hanches, puis mes fesses, faisant glisser mon short centimètre par centimètre. Il découvre ainsi mon pubis qu'il lèche. Apparaît alors mon clitoris qu'il prend d'assaut sans jamais se départir de l'immense douceur qui le caractérise. Il le titille de la langue, essaie de le mordiller, mais le short qui me ceinture le haut des cuisses m'empêche de les ouvrir. Ma chatte coule. Mes mains le caressent partout où c'est possible.
Quand mon short est à mes genoux, ses mains me tiennent par les fesses et sa langue lèche ma mouille tout le long de ma fente.
- " Ooohhh…!!! Nono !!! C'est si bon !!! "
Tout en officiant, il soulève ses fesses de la couche, et fait glisser son short le long de ses jambes. Il est nu, sa belle queue se dresse vers le plafond, se tend vers moi. En me penchant un peu je parviens à la prendre dans la main. Hhhhhmmm…!!!! J'aime !!!
Mon short est à mes chevilles. Je peux écarter un peu les cuisses. Il me pelote les fesses, glisse sa main entre elles, par-dessous, pour venir caresser ma chatte, l'entrée de mon vagin.
Ouououhhhh…!!! Je le branle…
Sa bouche quitte mon minou. Il se penche encore, caresse mes cuisses avec ses lèvres pendant qu'il m'ôte mon short en me faisant soulever les pieds l'un après l'autre.
Je suis enfin nue. Il m'enlace et m'attire avec lui sur le bas flanc. Se déroule alors un véritable match de lutteur, chacun voulant l'autre à la merci de ses caresses, de ses attentions, chacun voulant donner à l'autre toujours plus de plaisir.
Nos mains et nos bouches sont partout à la fois. C'est délicieux !
Nous trouvons une certaine entente et un peu de calme dans un fabuleux 69 qui lui permet de faire plus ample connaissance avec ma chatte, et à moi de me régaler du plaisir que je lui donne ainsi.
Le plaisir monte… Trop…!
Nous voulons la même chose : l'union et la communion de nos êtres.
Avant que n'arrive le point de "non retour" qui nous abîmerait dans le naufrage de nos divins orgasmes, nous nous séparons. Je roule sur le dos. Nono se couche sur moi, sa queue dure entre nos ventres, sa bouche sur la mienne dans un doux et profond baiser qui me transporte de tendresse. J'ouvre mes jambes, enserrant les siennes. Puis, en écartant les cuisses, je plis mes genoux et relève mes jambes et mes pieds qui battent l'air. Nono se dresse un peu sur ses mains et ses genoux. Je pose une main sur ses fesses, de l'autre je tiens sa queue. Avec son gland je me caresse un moment la fente et l'entrée de mon vagin, mes lèvres étant déjà séparées et ma chatte ouverte.
Puis je m'immobilise, son gland au contact de mon minou mouillé. J'appuie doucement sur ses fesses.
-" Aaaaaahhhhhh….!!!!! " Il se laisse aller sur moi. Sa queue glisse en moi, m'ouvre, me remplit. Nos bouches se détachent afin que puissent s'exhaler nos gémissements de plaisir.
Il a conscience lui aussi que l'instant est solennel. Il ne bouge plus au fond de moi. Nous sommes très émus. Mon Nono, mon ami de toujours, mon frère, soudé, uni à moi dans le plus bel acte d'amour qui soit. Je prends son visage entre mes mains, comme l'objet le plus précieux au monde. Nous nous noyons dans le regard de l'autre, qui devient pour la circonstance un océan infini de tendresse.
Sa queue me paraît énorme dans mon ventre, tant il me remplit bien. Il amorce quelques va et vient, très courts.
Alors je perds pied. Je l'étreins, je le serre.
-" Oh ouiii..!!! Baise moi mon Nono…!!! "
Et il sait me baiser, me donner du plaisir, changeant le rythme, parfois très lent, parfois rapide, changeant d'angle de pénétration, sachant aussi faire des pauses pendant lesquelles nos langues se nouent et se caressent. Dans ces moments d'immobilité je fais faire des contractions à mon vagin. Il me répond par des soubresauts de sa queue.
Dieu que c'est bon…!!!! Le plaisir devient si fort que nous sentons tous les deux que nous allons jouir.
- " Ooohh…!!! Mon Nono!!! Je vais jouir tu sais !! Je me retiens pour t'attendre, pour jouir avec toi, mais j'en peux plus…!!! Je… Je … Ouououhhh…!!! Je peux plus me retenir..!!!"
- " Malou mon ange…!! Laisse toi aller…!!! Je… Je vais gicler …!!! Je vais gicler tout ce que je t'aime depuis si longtemps…!!! Aaaahhh…!!! "
Il gicle en moi tout son bonheur, il me remplit, il m'honore de son plaisir, de son orgasme.
Je ne peux retenir un cri sauvage quand je sens ses puissantes giclées s'écraser contre mon utérus. Un violent orgasme ravageur part de là, de mon utérus, de mon vagin, et se répand dans tout mon corps en une multitude d'ondes de plaisir qui donne l'impression que je tremble.
Nous retombons, lui sur moi, dévastés tous les deux. Il reste en moi et j'adore ça. J'aime sentir les derniers spasmes de nos membres en jouissance, et j'aime savoir que son sperme finit de couler dans mon réceptacle sexuel.
Nos corps s'apaisent peu à peu, mais pas pour longtemps.
Nous sommes trop excités, trop contents, trop heureux de ce qui nous arrive. Nos échanges de tendresse nous font bander à nouveau, lui sa belle queue, moi mon clitoris, et nous avons besoin de nous toucher, de nous caresser, de nous branler, et ainsi, nous faisons l'amour une fois de plus.
Et c'est comme ça que, comme des fous, nous faisons l'amour une grande partie de la nuit, de toutes les façons, dans toutes les positions. Chaque orgasme est plus long à venir, mais aussi tellement plus fort et plus profond.
Nono et moi avons 25 ans aujourd'hui. Encore jeunes. Nous sommes libres l'un par rapport à l'autre. La vie professionnelle nous tient séparés. Mais, à chaque fois que nous nous retrouvons, nous passons quelques nuits ensemble à nous faire jouir mutuellement.
Depuis cette nuit magnifique à la bergerie des Traverses je suis profondément amoureuse de mon Nono, et je sais que s'il me demandait en mariage, je dirais oui tout de suite !
Histoire postée par
Malou le 12 Octobre 2009 dans Confession de Femme.