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Confession Intime : Chez un gynéco après un orgasme :


Lorsque je suis arrivée chez René et lorsqu'il eu refermé sa porte derrière moi, mes mains se perdirent dans son pantalon duquel je sortis son sexe, d’une dimension impressionnante... Il étouffa un gémissement et retroussa ma jupe, il me fit asseoir sur la table du salon, ma culotte fut simplement écartée et d’un mouvement sec il me pénétra... Cela déclencha en moi un orgasme violent. Mes jambes sur ses épaules, Je me sentais pleine, bien remplie par ce sexe qui me labourait sans ménagement.

René poussait de petits cris, je pensais qu’il allait se libérer lorsqu’il se retira et me retourna sur la table, il joignit mes jambes et écarta les siennes autour des miennes, je le sentais dans toute sa longueur me pénétrer tout doucement et ressortir. Je sentais ses mouvements dans les profondeurs de mes chairs, il prenait son temps et moi je sentais le plaisir naître... Je le sentais inexorablement venir et monter sans trop savoir comment il exploserait. Je commençais à être prise de tremblements incontrôlés, mes jambes en coton me supportaient à peine, mes oreilles se mirent à bourdonner et je me sentais prête à exploser lorsque je sentis ses va-et-vient s’accélérer...

Il me tenait par les hanches, gémissant de plus en plus fort et cela contribuait à me rendre de plus en plus folle. Au moment ou je le senti exploser au fond de moi milles pétards explosèrent en moi. Je venais d’atteindre des sommets encore inexplorés.
Nous nous trainâmes jusqu'à la chambre et une fois sur le lit, René se coucha près de moi pour reprendre notre souffle il caressait doucement mon corps...
J’essayais de me souvenir de ce qui s’était passé, mais pendant de longues minutes, mon esprit demeura embué par le plaisir. Je m’assoupis quelques instants plus tard...
Je fus réveillée par une douleur atroce au niveau du bassin. Elle me tenaillait le ventre et m’empêchait de bouger. Malgré tous mes efforts, je ne parvenais pas à faire le moindre geste. Pendant de longues minutes, je restais là, incapable de bouger sous le regard effaré de René.

L’heure de départ arrivait et j’étais toujours là. Il me semblait impossible de rentrer chez moi...
René ne pouvait pas non plus rester avec moi, un patient l‘attendait.
Au prix d’un effort surhumain, nous pûmes arriver à ma voiture. J’avais beau me demander ce qui avait pu se passer, je ne trouvais aucune explication plausible.
Au bout d’un voyage proche du calvaire, je me retrouvais à la maison, seule heureusement, mon époux est en déplacement à l’étranger jusqu‘à jeudi soir.
J’allais immédiatement au lit en priant que la douleur, en fin de journée ne fasse plus partie que d’un triste souvenir ! Malheureusement j'ai passé une nuit blanche, la douleur avait envahi mon ventre entier, m’empêchant de faire le moindre mouvement. Je suis restée au lit toute la matinée espérant que j’irais mieux après avoir avalé quelques cachets.
Rien n’y fit, en début d'après-midi, je décidais de me rendre chez mon gynéco mais celui-ci était absent.
En désespoir de cause, je consultais l'annuaire, j’en choisis un, espérant qu’il pourrait me recevoir....

Il m'a donné rendez-vous en urgence aujourd'hui à 14h30. Les formalités remplies, je dus attendre quelques minutes. J’étais assez angoissée, non seulement par cette douleur inexplicable, mais aussi par la peur de tomber sur un gynécologue affreux. J’étais dans mes réflexions lorsqu’une porte s’ouvrit sur un Monsieur à la blouse blanche, la quarantaine, cheveux grisonnants, 1,85 m. environ, le torse large, involontairement je regardais ses mains, de belles mains, grandes et fines. Je me sentis immédiatement rassurée et lorsqu’il me fit un sourire de bienvenue je remerciais presque le ciel de ne pas avoir affaire à un vieux Monsieur chauve et bedonnant.
« Alors Madame, je suis à vous... » une voix rieuse et pas mal non plus, j’avais vraiment de la chance. Je me sentais en confiance.
J’essayais de me lever mais la douleur fut terrible, il me soutint par la taille et me mena à son cabinet.
« Ca pas l’air d’aller du tout... asseyez-vous et dites-moi comment vous vous sentez ».
Je lui expliquais mes douleurs. « Qu’avez vous fait avant ? »
Un peu confuse je lui avouais, sans entrer dans les détails, que j’avais fait l’amour.
« Ce n’est rien, nous allons voir cela de plus prêt, entrez dans le box à côté et déshabillez-vous. »

Ce qui au vu de mes douleurs était presque impossible, il dût m’aider à me déshabiller et à m’installer sur la table gynécologique.
« Alors, vous avez fait l’amour un peu avant d'avoir cette douleur ? »
« Oui docteur »
« Avez-vous eu une émotion quelconque avant ou après ? »
Je me suis souvenue qu’avant d'aller chez René, on m’avait annoncé la rechute de mon père diabétique ; je le lui dis...
« Je vois ce que c’est mais il faut que je le confirme. »

Alors nous allons commencer par les examens d’usage, nous palperons d’abord les seins (ce qu’il fit avec beaucoup de douceur) rien d’anormal.
Il s’attaqua au ventre, le palpant doucement, ce qui m’arrachait quand même des cris de douleurs. J’avais mal. Il secouait la tête : « Je vois, c’est bien ce que je pensais... »
Il enfila une paire de gants et pris un spéculum, j’avais un peu peur, au fond je n’aimais pas trop tous ces engins, et ce d’autant plus que j’étais certaine d’avoir mal. Il le sentit et me rassura.
« Relâchez-vous... ça va aller »

Il me l’enfonça délicatement et patiemment j’attendis... Avec un sourire coquin qui lui découvrit une fossette il me dit : « Ce n’est pas grave ; en fait vous ne faites pas beaucoup de sport... »
Il ajouta : « Votre partenaire a entrepris de vous en faire faire un peu....»
Gênée, je ne dis rien. Il continua.
« Cela vous est-il déjà arrivé ? »
« Quoi ? »
« Ce genre de douleur ? »
« Non »
« Avez-vous atteint l’orgasme ? »
Une fois de plus je gardais le silence. Il enleva le spéculum et huila ses gants.
« Comme je le pensais ce n’est pas grave... »
Il mit deux doigts dans mon vagin en me massant le ventre !
« Ce n’est pas grave, vous avez dû avoir un orgasme très violent qui vous a emmené à crisper violemment les muscles. » J’étais abasourdie. « Je me trompe ? »
« Non, en effet, j’ai eu un orgasme assez fort. »
Ses mains continuaient leur besogne.
« Je vais vous faire un massage pour relâcher vos muscles et vous vous sentirez mieux, d’accord ? »
Il se mit debout à ma gauche et enfonça à nouveau deux doigts dans mon intimité. Il entreprit un lent, très lent va-et-vient en me massant le ventre.
« Cambrez-vous... Relâchez... Soulevez le fessier... Reposez-le »

Et j’obéissais... Sa main me pétrissait doucement la peau du ventre, en parfaite synchronisation avec ses doigts et les mouvements du bassin qu’il exigeait de moi. Une douce chaleur commençait à m’irradier... Je n’osais même pas y penser, de peur qu’il ne s’en aperçoive.
Il se déplaça et vint entre mes cuisses écartées, les deux pieds posés sur les étriers, il recommença ses mouvements. J’essayais de regarder son visage pour y déceler une quelconque émotion, rien du tout, il est vrai que la salle était plongée dans une semi-pénombre, mais il avait un air tellement professionnel que je commençais à me demander si ce n’était pas moi qui supposais le vice dans des gestes naturels. Comme je commençais à me crisper pour qu’il ne découvre pas mon état, il me dit :
« Laissez vous aller, Vous verrez ça ira nettement mieux. »

Il prit un tabouret et s’assis entre mes jambes, les doigts toujours bien enfouis au fond de moi. Il me tira vers le bas de la table de façon à ce que mon bassin dépasse légèrement les bords de la table.
« Cambrez-vous vers le bas, Oui remontez un peu... Oui encore... Voilà, continuez... »
Là je mouillais vraiment, j’étais morte de honte. Et sa main douce et chaude qui continuait inexorablement son massage sur mon ventre !!! Et ses doigts au fond de moi... Je n’en revenais pas.
Il continua un bon moment ce traitement qui me liquéfiait littéralement.
« Alors descendez tout doucement vos jambes... » il laissa un moment mon ventre mais garda ses doigts en moi. Il me posa les jambes sur ses cuisses (lui était encore assis).

Je restais là, la moitié du dos sur la table, presque accroupie sur ses cuisses et le sexe béant sous son nez dans une cambrure d’autant plus obscène qu’il accentuait l’écartement de mes cuisses en ouvrant ou refermant les siennes selon son bon vouloir, il tournait maintenant ses doigts au fond de moi, me massant le ventre. Comme dans une danse bien synchronisée par le mouvement « d’écartement et fermeture » de ses propres jambes. Je n’y tins plus et j’eus un orgasme involontaire mais d’une violence inouïe. J’étais mort de honte, il ne dit rien, et continua comme si rien ne s’était passé.
« Nous allons continuer, vous poserez doucement vos pieds bien à plat sur le plancher, l’un après l’autre... étirez-vous bien en essayant de laisser votre dos couché sur la table. »
« Docteur, je vous en prie... » lui dis-je dans un murmure...
J’étais maintenant assise à califourchon sur lui le dos en arrière,
« Je vous en prie, c’est affreusement gênant... »
« Laissez-vous aller, décrispez-vous.... »

Sa voix était chaude, aucune émotion n’y transparaissait ou peut-être que si... Mais l’insolite de la situation m’excitait doublement !!! J’étais entrain de me faire tripoter par un gynécologue !!!! Pendant une consultation.

Et ses doigts qui continuaient leurs va-et-vient, je devenais folle à essayer de me retenir. Sa main chaude caressa mon ventre et atteignit mon sein sur lequel elle se referma, je fus parcourue par une onde électrique. Sans réfléchir, Je me laissais aller confortablement sur ses deux doigts gantés et entrepris une auto masturbation en bonne et due forme... Ondulant des hanches au rythme de mon plaisir, allant et venant le long de ses doigts selon mes envies. Plus rien n’existait que cette sensation qui m’enivrait, de sa main libre, il me pianotait le ventre, m’arrachant des soupirs et de petits cris... C’était divin... je pris sa main libre et la collai à mon sein, pour mon troisième orgasme !!! Je m’affalais.
Délicatement, il me porta et me posa sur la table gynécologique.
« Vous aurez besoin de vous remettre... » me dit-il simplement. Il me fit clin d’œil et disparut.

Je reprenais mon souffle lorsqu’il réapparut ; je n’osais pas le regarder après ce qui venait de se passer.
« Voyons si ça va mieux, levez-vous légèrement, voilà, avez-vous toujours mal ? »
« Oui, mais plus aussi fort... »

Et c’était vrai, la douleur avait disparue ou presque, il me sourit. Posa sa main chaude à plat sur mon ventre. Je ressentis comme une secousse... Il sourit encore découvrant une rangée de dents bien blanches.
Juste à cet instant il y eut une panne de courant et le cabinet fut plongé dans le noir. Il sortit en pestant et revint avec une lampe frontale... il la dirigea vers mon visage, descendit le rayon doucement jusqu'à mes seins... il s’y attarda, de la main, il me palpa chaque sein éclairé, parcourut mon ventre... et s’arrêta au niveau du pubis. Il me plia à nouveau les jambes et posa mes pieds sur les étriers... j’étais là, complètement offerte... et très gênée, il m’effleura l’entrecuisse et sourit. Puis détendit mes jambes.
« Essayez de vous lever ...»
J’y parvins presque sans peine
« Alors ça va ? »
Je n’avais plus aussi mal !!!!
« Marchez un peu... »
J’y arrivais sans trop de peine.
« Demain vous reviendrez pour une visite de contrôle, mais je crois que vous irez beaucoup mieux.... »

En attendant... il me tendit une ordonnance...
« Commencez le traitement dès ce soir. »

Ce soir j'ai beaucoup moins mal, je ne sais pas si j'irai revoir, demain, ce gynéco car j'ai eu la honte de ma vie...



Histoire postée par Michelle le 28 Janvier 2012 dans Orgasme.
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