Confession Intime : Hélène, ma belle-mère :
Depuis quelques temps, lors de rencontres occasionnelles, y compris en présence de sa fille, les regards d'Hélène se faisaient insistants. Je finis par leur attribuer une volonté de complicité physique, amoureuse. Son mari, en déplacement depuis six mois, je subodorais des envies dissimulées.
Ce lundi après midi, je m’arrête à l'improviste. Il fait très chaud à cette mi juillet, les volets mi-clos des maisons du village, freine l'ardeur des rayons.
Après avoir frappé brièvement, j'entre par la porte de la cuisine qui donne directement sur la rue. Héléne n'y est pas, pas d'avantage dans la salle à manger. La porte entrouverte du couloir qui donne accès à la buanderie, m'invite à descendre. Sur la dernière marche, je m'arrête interloqué. Devant la machine à laver, Hélène est entrain de déboutonner sa blouse à manche courte. Rapidement, elle se trouve en slip et soutien gorge, noir.
Je reste immobile, ne se doutant pas de ma présence cachée par l'angle mort de l'escalier, elle se dénude et plonge les sous vêtements dans le tambour. Hélène est entièrement nue. Mon regard attisé se porte sur ses seins protubérants en forme de poire, munis d'aréoles marron foncé et de tétons cylindriques de la même couleur. Malgré ses 62 ans ils sont fermes et presque en érection. Ses fesses larges et cambrées m'excitent subitement, tout autant que son pubis grisonnant, abondamment poilu.
Hélène semble jouir de sa nudité. Elle se caresse longuement, tire ses tétons et en savoure la longueur qui s'allonge sous les doigts. Elle se déplace pour mieux apprécier, devant la glace de l'évier où elle entreprend d'une main des caresses du clitoris. J'entrevois entre ses fesses, une longue raie poilue, abondante et noire.
Blotti sur l'escalier, mon sexe commence à se tendre jusqu'à le sortir pour entamer une lente masturbation.
Figé par le plaisir, je saisis l'excitation et la respiration accélérée de ma belle mère qui s'empare d'un pilon de mortier à portée de main, l'enduit de quelques gouttes de savon liquide puis, entreprend de se pénétrer.
Réplique adaptée d'une bite, elle accélère puis ralentit les pénétrations, son regard rivé sur la glace qui lui renvoie les plaisirs de son corps.
Son souffle devient halètement, puis râle. Elle libère son vagin du long manche de bois et éjacule avec des petits cris, des jets de cyprine.
Ma belle mère est fontaine! Une large flaque inonde le sol.
En me détournant sur l'escalier, je fais un léger bruit. En un éclair, Hélène s'empare de sa blouse, l'enfile fébrilement, referme deux boutons et s'engouffre vers l'escalier. Je n'ai pas le temps de remonter mon short.
Nous sommes nez à nez, elle devient rouge en même temps que son regard se porte sur mon sexe nu.
Sans rien dire, elle m'entraine par le poignet, vers la machine à linge puis : "Qu'est ce que tu veux TY quand il rentre il y a jamais moyen, alors....."
En même temps qu'elle termine sa phrase, elle se rapproche de moi, défait les deux boutons et se met nue en faisant glisser la blouse.
"Tiens si tu veux, ma fille saura rien. En même temps qu'elle me met nu, elle colle ses seins à ma peau, s'empare de ma bite raidie : "j'ai encore très envie de toi cette fois.
Hélène me fait asseoir sur la chaine en bois où elle a posé son linge propre. A genoux entre mes jambes, elle entreprend de me branler, puis me suce la bite raidie avec un grognement de gourmandise.
Me sentant prêt, elle se lève devant moi, me caresse le sexe aves ses seins. Puis, elle se retourne, m'offrant la raie poilue des fesses qu'elle écarte de ses mains pour s'empaler sur la queue.
Après une série de va-et-vient, elle émet un nouveau et long râle de jouissance en même temps qu'elle m'inonde et qu'un long jet puissant se mêle à sa mouille abondante.
Histoire postée par
peniboy le 30 Juillet 2012 dans Confession d'homme.