Confession Intime : L'anniversaire de ma collègue Rose :
Nous sommes fin juin 1979, si je me souviens bien, nous sommes le 21 juin. Nous ayant prévenue en avance, j'avais demandé à la nourrice, de garder mes enfants à manger et à dormir chez elle. C'était un mercredi soir, Rose, qui est une Sénégalaise, beau visage toujours vêtue de blanc ou rose pâle, avec une forte poitrine un bon 110 E et un bon fessier bien rebondi, cette femme grande dont les rondeurs la rendaient encore que plus désirable. Elle avait invité mon mari à venir vers 17h45 pour préparer sur mon bureau les divers paquets de gâteaux salés, cacahuètes, pistaches bouteilles timbales etc... Lorsque mon mari arriva j'étais seul dans la dernière pièce où l'on préparait l'emballage des colis et l'affranchissement pour ceux qui partaient par la poste et entreposer les autres dans des panières, chacune dans les départements de la région parisienne qui partaient par transporteur. Mon mari fit la bise à toutes mes collègues, dont les 3 qui prenaient les commandes par téléphone, puis à Edith ma collègue qui occupait le même poste que le mien, puis à Rose, mes deux dernières collègues étaient dans la pièce de mon bureau, Rose dit vraiment fort à mon mari.
Rose : C'est bien Louis, d'arrivé si tôt, tu vas pouvoir installer les victuailles et boissons, pendant que l'on termine les dernières commandes.
Louis : J'ai fait ce que tu m'as demandé. (il devait maté dans le décolleté de ma chère collègue Rose, Qui était vêtue d'une robe blanche et transparente, ou l'on devinait ses formes, contrairement à moi, elle portait des sous-vêtement.)
Mon mari arriva dans la pièce ou je me trouvais en compagnie des cousins de Rose, des jumeaux d'un beau noir ébène, un noir presque indescriptible, d'un brillant éclatant, éblouissant lorsque le soleil leur caressait leur peau. Je ne sais pas, si mon mari ma vue remettre ma jupe longue et serrée aux fesses en place. Je vais me répéter, je ne portais aucun sous-vêtement juste un collant slipé. J'étais entre les deux cousins de Rose, ils étaient vraiment très près de moi, et à l'arrivée de mon mari, Jean et Luc ( les cousins de Rose ) faisaient semblant de remettre leur cravate. Ils étaient vêtus de costume blancs ce qui les rendaient encore plus beaux, leurs ayant avoué qu'ils étaient superbement beaux et charmants, étant arrivés peu de temps avant mon mari, Rose nous avait présenté, et avait signalé que j'étais mariée et mère de deux charmantes filles de 7 et 4 ans, mais que malgré cela, assez bas elle ajouta que je ne portais pas de sous-vêtement, et s'en alla dans l'autre pièce en compagnie d'Edith. Jean et Luc s'approchant de moi pour me biser, c'est vrai ce que vient de dire notre cousine. Je ne pu que de répondre par l'affirmatif, et m'ayant demandée de me tenir le long de ce long comptoir, on remontait ma jupe sur mes reins et on put admirer mon cul sous ce collant couleur chair bronzée, et le tapoter avant la phrase de Rose complimentant mon mari d'être arrivé en avance ce qui sauva ma situation ou pose que je présentais aux jumeaux. Mon mari préparait les bouteilles et les victuailles, Rose, Edith et mes 3 autres collègues sont venues m'aider à finir d'emballer les colis pendant que j'affranchissais au fur et à mesure, les colis prêts, Jean et Luc mettaient les colis que je leur passais dans des sacs postaux que j'allais porter avec eux au bureau de poste qui était à 2 minutes de notre bureau. Je partis donc avec un sac et jean et Luc en portaient deux chacun. Nous prîmes l'ascenseur, celui-ci était très étroit que je sentais leur dessus de main le long de mon fessier, ils appuyaient légèrement sur mes fesses, ce qui ne me déplaisais nullement, un Bécot de Luc puis un de Jean, l'ascenseur arrive au rez-de-chaussée, nous portons au bureau de poste ses cinq sacs. Nous reprîmes l'ascenseur Jean me roula une pelle en me dégrafant un bouton de mon chemisier, tandis que Luc me caressait les fesses sous ma jupe remontée et m'embrassait dans le cou, nous ne pouvions vraiment pas bouger, j'étais prise en sandwich, malheureusement l'ascenseur s'arrête au deuxième, nous étions arrivés à l'étage de mon bureau, quel dommage de ne pas travailler à la tour Montparnasse au 50 ème étage me suis-je dit : Je me remis correctement, vestimentairement et remis mes cheveux, certains restèrent crépus et désordonnés surtout derrière, et j'avais volontairement laissé mon chemisier dégrafer d'un autre bouton laissant ainsi apparaître mes seins nus, je mouillais déjà dans l'ascenseur, mais lorsque mes collègues ainsi que mon mari, me regardaient bizarrement, je mouillais encore plus, et Jeanine me dit :
Jeanine: remet correctement ta jupe, elle est coincé à cet endroit dans ton collant.
Nicole (moi) : Oh, merci (et je remis ma jupe correctement en regardant en premier Luc et ensuite mon mari.
Mon mari faisait le service, Edith était à sa droite et Rose à sa gauche Jeanine était en face de lui en compagnie de Bernadette et Brigitte. Je m'installais entre Jean et Luc sur le côté du bureau les fesses le long du comptoir en posant ou en reprenant mon verre je me penchais bien en avant je savais que mes collègues et mon mari avaient les yeux rivés sur mes seins nus ce qui eut pour conséquence de me faire durcir et allonger mes tétons et une chair de poule emplit tout mon corps, me relevant tout en me tournant vers Jean et ensuite vers Luc pour qu'ils profitent aussi du spectacle. Bernadette toujours pressée après son premier verre, je file à demain, ce qui entraîna Edith et Jeanine, nous n'étions plus que six. Le copain de Brigitte arriva tout de suite après le départ des 3. Il prit un verre avec nous et est repartit 10 minutes après être arrivée. J'étais toujours entourée de Jean et de Luc, ils mirent leur main le long de ce comptoir juste à l'emplacement où j'allais remettre mon fessier après avoir déposé mon verre en me penchant pour le plus grand plaisir de mon homme qui se rinçait l'œil, je sursautais, un peu en sentant les mains des jumeaux sur mes fesses, et pour ne pas les gêner, je n'appuyais pas mon fessier sur le comptoir, Rose n'arrêtais pas de rire avec mon homme, pendant que je me laissais caresser les miches et remonter ma jupe, les mains des jumeaux passaient sous ma jupe le derrière de celle-ci coinça leur main juste sous mes fesses. Ma jupe étant trop serrée si on ne relevait pas le devant en même temps. Je mouillais de plus en plus surtout voyant mon mari rien dire, ne voyait-il pas ma jupe relevée derrière moi, bien-sûr Rose le distrayait par ses rires et bisous qu'elle lui prodiguait dans le cou, son cou était couvert de rouges aux lèvres. Nous arrivions à la fin de cet apéritif, nous débarrassons tous ensemble les jumeaux ne me lâchant pas d'une semelle, une bise par-là, une tape sur le cul par ci même mon mari m'infligeait les mêmes gestuels. C'étaient-ils donné le mot, tout en rangeant je sentais inonder mon collant. Je partis au toilette, me lavant la moule au petit lavabo se trouvant dans le WC et essuyant du mieux possible mon collant, que j'ai préféré ôté et mis en boule dans une de mes poches de veste.
Je proposais à Rose et donc à ses cousins que nous les ramenions en voiture au lieu qu'ils prennent le métro. Mon mari étant venu me chercher en voiture, c'était une SEAT 133, ( modèle ressemblant à la FIAT 850 ) 2 portes, moteur à l'arrière. Je propose à Rose de monter devant car vue sa corpulence, elle serait mieux devant, et que ses cousins y seront mieux à l'arrière avec moi. Les cousins de Rose sont très grands 1m90 environ, mince et moi-même 1m62 pour 55 kg, beau petit cul que ces jumeaux ont l'air d'apprécier. Mon mari fit monter par son côté un des cousin de Rose, c'était Jean, il réussit en se pliant au mons en deux pour entrer, j'entre en même temps par le côté passager et monte assez haut ma jupe avant de m'asseoir au côté de Jean, celui-ci me souleva ma jambe gauche pour insérer ses jambes sous la mienne et Luc entra en même temps par le côté passager, il dut se plier en quatre pour y parvenir et avant que Rose baisse le siège avant pour s'y installer elle-même souleva lui aussi ma jambes droite ce coup-ci pour y loger ses jambes et genoux. Nous partons de République pour la Porte de Clignancourt. Comme souvent à Paris, embouteillage, et notre voiture étant basse, une camionnette style J5 s'arrête à côté de nous, le passager de cette camionnette la vitre ouverte, ainsi que celle de mon mari et celle de Rose.
Le passager de la camionnette (regardant dans l'habitacle de notre voiture) : EH, BIEN CELLE-LA, ELLE NE VA PAS S'EMMERDER CE SOIR. C'EST TA FEMME BOUFFON ( en s'adressant à mon homme )( le ton était élevé (majuscule) )
Louis : OUI, ET ALORS CELA T'EMMERDE SI ELLE VA PRENDRE DU BON TEMPS.
Le passager de la camionnette : NON CELA M'EMMERDE PAS DU TOUT, BAISAIENT LA LES GARS SON MEC EST D'ACCORD.
Louis : S'adressant à nous trois derrière, ALLEZ-Y EMBRASSAIENT VOUS ET CARESSAIENT VOUS.
A peine avait-il commençait à prononcer ses mots que tour à tour Jean et Luc me roulèrent une pelle et leur main s'insérait sous ma jupe la relevant aider par un soulèvement de mon fessier, des petits gémissements sortait de ma bouche ma chatte à peine sèche, qu'elle mouillait encore de plus belle.
Le passager de la camionnette : OUAIS C'EST CA LES MECS, LES SEINS A L'AIR AUssssi. La camionnette avança de quelques mètres
Louis : CE NE SONT QUE DES JALOUX METS TES SEINS A L'AIR
ET OTE TA VESTE.
J'ôte ma veste que je passe à Rose, j'ai deux doigts dans le vagin se sont ceux de Jean non ceux de Luc tout compte fait j'ai quatre doigts dans mon sexe détrempé, je sens la main droite de Luc sortir de mon vagin et venir ôter les boutons de mon chemisier pour mettre ma poitrine à l'air, je cris mon plaisir lorsqu'il roula entre son pouce et son index mon téton raide et droit fier d'être trituré et maltraité et il tire dessus pour l'allonger et allonger mon sein. Mon mari avance et s'arrête juste à côté de la camionnette, j'ai sorti la bite de Jean qui m'a bien aidé à la sortir car peu de place, en plus elle est toute raide, Luc était en train de sortir le sienne.
Louis : ALORS TU N'OSES PLUS RIEN DIRE PETIT CON
Le passager de la camionnette: TA SALOPE JE L'ENCULE A SECV SI TU VEUX.
Louis : OUI, MAIS PAS TOUT DE SUITE SALUT.
Nous avançons plus vite que l'autre file pour le moment, Jean et Luc me roule pelle sur pelle ou mordille et jouent avec mes seins ou sexe, pendant que je les branle, ses deux sexes sont longs pas très épais, ils sont circoncis et leur gland est rose et leur tige noir ébène luisante.
Jean : Suce moi Nicole et je sentis sa main droite et ensuite celle de Luc appuyer sur ma tête, je ne suis pas à l'aise, je n'y arrive pas , Jean se soulève, son gland est entre mes lèvres, mon mari s'écrit:
Louis : Accrochez-vous, quel con celui-là
Il pile pour éviter un accrochage, Jean c'est bien accrocher Luc aussi mais moi pas trop J'avale la queue de Jean d'un seul coup aider par la pression des mains de mes jumeaux, un petit haut de coeur, mais que c'est bon à sucer cette tige black, elle est épicée par rapport à celle de mon homme.
Le passager de la camionnette : C'EST BON SALOPE, T'AIME TES BLACKS SALOPE.
Louis : ELLE EST POLIE, ELLE NE PARLE PAS LA BOUCHE PLEINE,
Le passager de la camionnette ; CE N'EST PAS A TOI QUE JE PARLE MAIS C'EST A TA PUTE. TU ME LA PRETE QUAND COCU
Louis : ELLE A L'AIR D'AIMER CA ELLE NE TE REPONDS PAS ELLE NE VEUX PAS PERDRE UNE SEULE LAMPEE. PAS AUJOURD'HUI, JE TE LA PRETERAIS PLUS TARD
Le passager de la camionnette : DIT MOI: QUAND OU FILE MOI TON TELEPHONE
Louis : DONNE MOI TON PRENOM, NOTE LE NUMERO DE TELEPHONE DE LA BOITE ROSE. COMME CA JE POURRAIS TE LAISSER UN MESSAGE
Moi (Nicole ) HEP! .....
Jean : TA GUEULE SUCE
Le passager de la camionnette : TU AS ENTEZNDU TA GUEULE ET SUCE CET ESQUIMEAU NOIR. JE ME NOMME PIERRE
Louis : O.K JE NOTE
Nous avançons par une contorsion jean me retourne vers son frère et m'empale sur sa longue tige, elle n'a pas de mal à entrer, je suis trempée, les clapotis commence par le cadencement que produit les mains de Jean sur mes hanches, Luc me tend sa queue, et dirige ma tête vers elle, j'enfourne son gland, lui lèche toute la longueur de sa tige je tripote avec ma main droite ses couilles, j'avale totalement et plus facilement toute sa queue, est-ce la cadence de Jean qui me font prendre se sexe entièrement et si facilement en pleine bouche, je racle mes dents le long de sa tige lorsque je remonte la tête vers son gland j'entends ses râles lorsque j'arrive au col de son glands, j'entends, haleter Jean au rythme de ses vas et vient. Je ne sais plus du tout ou nous sommes, je n'ai pas regardé dehors depuis un bon moment, par contre je n'entends plus ce passager de la camionnette. La voiture s'arrête, mon mari :
Louis : ON EST ARRIVE, DOMMAGE.
Rose : JE COMPTE SUR VOUS DEUX VENDREDI SOIR POUR TOUTE LA NUIT
Louis : ON EST ARRIVE, MERCI ROSE MAIS JE NE POURRAIS PAS VENIR JE COMMENCE SAMEDI A 2 HEURES POUR FINIR A 12h30
Rose : DOMMAGE J'AURAIS AIME QUE VOUS VENIEZ ( elle descend de la voiture en même temps, j'ai cessé de sucer Luc qui essaie de remettre sa queue bandée dans son froc, c'est encore une contorsion, enfin , il préfère sortir de la voiture pour remettre sa queue dans son pantalon. Jean en a profité pour jouer les prolongation et d'ajouter une dizaine d'aller-retour très rapide, quand je me suis ôter de sa queue , un jet de sperme éclaboussa tout mon fessier, il me fit faire volte-face lorsqu'un deuxième jet plus consistant, sorti rapidement éclaboussant cette fois ci mes seins puis un troisième jet m'arriva sur mon visage.
Louis : J'AVAIS DIT QU'ON ETAIT ARRIVE, OUI OU NON
Moi ( Nicole ) JE T'AI....
Jean( me coupant la parole) : OUI , MAIS C'ETAIT TROP BON ET COMME TU L'AS VU SUR LE BORD.
Louis : ESSUIE TOI ET PASSE DEVANT, PASSE TES DOIGTS SUR SON SPERME ET SUCE LES
Moi ( Nicole ) TU ES FOU, TU SAIS QUE JE N'AIME PAS CA
Louis : SUCES LES, GOUTES SON SPERME
Moi (Nicole) JE N'AIME PAS
Jean : ALLEZ GOUTES MON SIROP
Je suce mes doigts plusieurs m'ayant obligé Jean et mon homme à les sucer et à tout racler, et il y en avait, il était épicé comme son sexe lorsque je lui suçais.
Rose : A demain, et toi, Nicole tu viens vendredi pour toute la nuit ce coup-ci
Moi (Nicole) le ton s'étant baissé lorsque Rose me demandait de venir: Je voudrais bien, mais Louis ne peut pas venir.
Louis : Je ne peux pas y aller, mais toi, tu peux y aller et tu seras en bonne compagnie, vous y êtes aussi les jumeaux.
Jean et Luc : Oui, bien sûr
Louis : Tu vois, tu ne seras pas perdu, tu auras tes Princes Charmants.
J'embrasse Rose et les cousins de Rose, mon homme embrasse Rose,
Rose : Merci pour Nicole et embrasse-moi mieux que ça.
Rose enlaça mon mari et lui roula une pelle. Mon mari sert la main des jumeaux et leur dit:
Louis : Amusez-vous bien vendredi soir, je vous confie mon épouse. Prenez-en bien soin.
Jean : On s'en occupera aussi bien que possible.
Nous reprîmes la voiture, et mon homme fit à monologue
Louis : Un vrai con ce mec dans la camionnette, il n'a pas était déçu du voyage, lorsque je vous ai demandé de vous embrasser et de vous caresser, il a fait une drôle de gueule, t'as vu. Non peut-être pas, tu étais si occupé, avec les jumeaux, Rose était toute souriante de m'entendre te dire de te laisser peloter et embrasser et sucer et t'empaler sur l'un deux et de sucer l'autre. On était heureux devant de vous entendre geindre et jouir. Rien qu'à voir la gueule de ce mec lorsqu'il t'as vue les seins à l'air et la bite dans une main, ses yeux s'écarquillaient tellement qu'on aurait pu penser qu'ils allaient sortir de leur orbite quand tu t'es mise à les sucer et surtout lorsque tu t'es empaler sur Jean et que tu suçais Luc. Je crois que tu as pris ton pied. Vendredi profites-en car dimanche on emmènes les petites en vacances chez Annie et Edmond ( des amis qui demeurent à la campagne et où l'on laisse nos enfants tous les mois de juillet et jusqu'à mi-aout )Nous arrivons chez nous, je suis si fatiguée que je vais me doucher pour essayer de reprendre mes esprits et me réveiller, pendant ce temps mon homme prépare un repas léger, il est 22heures, sous la douche je ne cesse pas de penser à ce que mon mari m'a fait faire, j'en avais envie aussi, mais venant de sa part cela m'étonne encore aujourd'hui, surtout, en plus de leur proposer aux jumeaux de bien s'occuper de moi, il sait très bien que je vais finir au lit avec eux. Je le sais pourtant jaloux, je sais aussi qu'il aimerait me prendre en photo toute nue en compagnie d'un homme Black. Mais là, il y a deux Blacks, des jumeaux. Nous, nous couchâmes vers minuit, et il m'a fait l'amour en me répétant sans cesse dans profiter vendredi. Le lendemain soir, idem que la veille, en me baisant il répétait : PROFITES-EN VENDREDI ET LES AUTRES SEMAINES QUI VONT VENIR. Le vendredi arriva et la soirée s'approche, je pense aux cousins de Rose, et je vous conterais ce qui c'est passer ultérieurement.
Histoire postée par
Nicole le 03 Juillet 2013 dans 1 Femme 2 Hommes.