Confession Intime : Nos vacances dans le sud :
Comme tous les ans, nous passions nos vacances d'été à Sainte-Marie de la Mer à côté de Perpignan. Nous partions aux alentours du 15 août, nos filles Christine qui venait d'avoir juste 8 ans, Sandrine qui avait 5 ans et cette année-là, nous avions emmené une petite nièce Virginie qui allait avoir 4 ans au mois de novembre. Nous étions sur un terrain en camping sauvage personne comme d'habitude à cette époque de l'année. Mon mari Lou avait installé notre petite caravane 4 place et donc faisions coucher les deux plus petites dans le même lit.
Je m'appelle Nicole. Trois jours passèrent, plage, manger, petite sieste d'1 heure après manger pour les enfants et repos pour les grands, puis rebaignade. Ce jour-là, nous revenions de plage pour déjeuner, et nous, nous aperçûmes qu'une caravane était placée juste à quelques mètres de la nôtre. Un homme avec les cheveux plus blancs que poivre et sel, assis devant cette caravane sur un pliant et un une bière à la main. Bonjour, dit-il, lorsque nous passons devant lui, nous répondîmes : Bonjour tous en coeur. Je sentais son regard sur moi, j'allais préparer le repas du midi à l'intérieur de la caravane ma fenêtre de cuisine était juste face à cet homme, mon mari tant qu'à lui ayant pris le nécessaire pour mettre la table dehors aidé des filles, ils attendaient le repas, je voyais toujours les yeux de cet homme sur moi, il me déshabillait du regard, j'étais vêtue d'un maillot de bain marron, et les couleurs prises sur ma peau de brune commençaient à brunir vite.
L'homme me regardait et avec son tee-shirt de la manière qu'il passait ses main sur l'encolure et en attrapant ses pectoraux, un peu grassouillet et velus les faisait ressortir et puis me pointait de son index. Je compris ce qu'il voulait, je pris mes seins en main en m'assurant que les filles et mon mari ne me voient pas, et me rapprochant en plus de cette fenêtre ouverte, je les sortis, le haut de mes seins ont des couleurs mais vers le tétons ils sont blancs et en dessous aussi. L'homme mima des applaudissements, puis refit la même chose, je compris aisément qu'il voulait que je remette mes seins à l'air car je les avais rerentré dans leur soutien. Je les ai remis à l'air jusqu'à la fin de la préparation du repas, mais l'homme invita mon mari à boire une bière avec lui et lui offrit un siège de façon à ce qu’il ne me voit pas les seins nus. Je sortis de la caravane avec la cocotte et servis les enfants, l'homme m'invita aussi à boire un verre, et me tendit un siège à côté de lui. Je voyais correctement dans ma cuisine de salle de bain.
Puis, nous mangeâmes et après une bonne heure de repos, nous retournions à la plage, l'homme nous demanda si il pouvait nous accompagner, nous ne pouvions refuser, il était charmant un homme 1m75 environ, certainement brun vu ses cils et sourcils et les yeux bleus un peu grassouillet, dans les 90 kilos. Nous, voilà donc tous à la plage, nous jouons les trois adultes avec les enfants, et tout en jouant dans l'eau avec les enfants et adultes je sentis quelques frôlements des mains de cet homme, les gestes étais précis, sur le fessier, sur mon sexe les deux mains sur mes nibards, le vieux salopard en profitait, mon mari jouant plus avec les enfants se souciait très peu de moi, et ria lorsque cet homme se prit une main dans mon soutien-gorge faisant ressortir un de mes seins, voyant que mon mari riait : il profita de me plaquer son autre main sur mon sexe et le caressa. Je décidais de remonter sur la plage m'asseoir à une vingtaine de mètres avec ma serviette de bain. Mon mari continuait à jouer avec les enfants et cet homme. Mais celui-ci, se lassa très vite et est venu s'asseoir auprès de moi.
L'homme : Vous êtes très belle, voulez-vous que je vous passe de l'ambre solaire. (je suis allonger sur le ventre, j'ai ôté mais bretelle de soutien-gorge et ôter aussi l'agrafe, et mis les deux partis sur le côté de mon corps, )
Moi, (Nicole) : Oui, tenez voilà le flacon.
L'homme : Comment vous appelez-vous ( il mit de l'ambre solaire sur sa main)
Moi : Nicole, et vous comment vous appelez-vous. ( il commence à m'étaler l'ambre solaire d'une seule main par le haut du dos au niveau des cervicales.)
L'homme : Je m'appelle Gilbert, je suis divorcé depuis près de vingt ans, je viens d'avoir 65 ans et suis à la retraite depuis trois mois, et je profite au maximum de la vie et des femmes, l’âge n'a aucune importance pour moi. ( il descendait lentement sa main enduite de produit solaire tout le long de mon dos ) et vous, vous avez quelle age et que faîtes-vous?
Moi : J'ai 29 ans et mon mari loulou, les aura le 13 septembre, et je suis agent technique dans les verres optiques.
Gilbert : Vous êtes oculistes ( en disant ces mots, il s'enhardit, il passat sa main sous l'élastique de mon maillot et alla chatouiller nénette, et surtout mon anus)
Moi : Mais, Gilbert ( je sentis un de ses doigts tourner autour de mon anus ) non, pas ça.
Gilbert : N'est crainte je mate ton mec, il joue avec les gosses, tu ne l'intéresses pas pour le moment, ( je sentis son doigts s'enfiler dans mon trou étroit, il le fit aller et venir dedans et m'en mit un deuxième et me branla tout en me disant ) c'est comme ça : que je vous aime, SALOPE, vous va à merveilles à vous toutes.
Moi : Non! pas ça, arrêtez (il grimpa à califourchon sur ma croupe et s'enduisit le deux mains d'ambre solaire et continua de m'enduire de crème solaire. Je ne dis plus rien, je croyais qu'il avait compris, mais il passait et repassait le long de mes seins sur le flanc)
Gilbert : Soulèves-toi avec tes avant-bras que je t'en passes sur tes nichons ( je me soulève un peu, il plaça ses deux grosses mains huileuses et poilues sur mes seins et il me les malaxa, les pétrissait, tira sur les tétons, les pinça, il n'arrêtais pas de descendre jusqu'à mon slip par les flancs faisant glisser au fur et à mesure de ses allers retours de mes seins à mes hanches, me voici les fesses à l'air, je sentais ses yeux me mater la croupe) soulève aussi ton bassin que je t'enlève ton caleçon
Moi : Mais, tu es fou ( je soulève mon bassin et me voilà maintenant à poil, je sens son sexe gonflé au bord de mon anus il écarte chaque globe de mes fesses, pour se satisfaire de mater mon anus et y placer sa queue bandée, d'une main il écarta la ceinture de son boxer short, et plaça donc son gland devant mon anus.)
( et il me besogna, de plus en plus fort et j'avais totalement oublier mon homme, la queue de Gilbert me paraissait noueuse de grande taille et épaisse, Je jouissais en mordant mes mains ou le coin de ma serviette pour ne pas hurler de plaisir et ameuter mon mari. Il était en moi depuis 20 bonnes minutes et certainement par la hâte d'en finir pour ne pas être surpris en moi, il se vida les couilles dans mon conduit. Je sentais ses jets puissants cogner au fin fond de mes entrailles, Gilbert me libéra de son étreinte et remis sa bite dans son boxer short, quant à moi je remis mon slip et mon soutif et je monte dans les dunes, avec une bouteille d'eau fraîche car elle sortait de la glacière et du rouleau de sopalin entamer pour évacuer se sperme si bon à prendre au fond de soi-même. Je me suis nettoyer et suis enfin revenu sur la plage)
Moi : ( assise sur ma serviette) : On goûte, on goûte
Les enfants accourent ainsi que mon homme il prend place à côté de moi, et dit:
Loulou : tu bronze intégrale, ton cul à l'air, maintenant, il ne te reste plus qu'à faire bronzer le devant, tu as même trouvé un passeur d'ambre solaire.
J'en avais la chatte encore humide et je sentais encore du liquide sortir de mon cul, il repartit avec les enfants jouer dans l'eau
Gilbert : Allez, à poil, tu te fais bronzer le devant et je vais te peloter en te passant l'ambre solaire.
Nous prîmes les serviettes et avons été nous mettre sur les dunes en prévenant mon mari, on était à une cinquantaine de mètres du rivage et en surplomb de 4 à 5 mètres, Gilbert après avoir étendu ma serviette et la sienne me déshabilla, l'herbe était haute, elle m'arrivait à la hauteur de mes seins,
Gilbert : allez à genoux, à toi d'enlever mon boxer-short, et de t'amuser avec Paupaul.
Je me mis à genoux et ôta son boxer et je le masturbe, elle a une belle allure, malgré son ramollissement et je pus constater en la branlant qu'elle se rigorait vite et quelle était noueuse, tout en le masturbant je passe ma langue sur son noeud circoncis puis sur cette tige encore salit par mon conduit je lui gobe une puis l'autre couille, puis il me positionne la bouche devant son gland en prenant ma tignasse, (encore un qui m'inflige le même traitement, il est vrai que j'ai les cheveux mi longs, et ils sont drus ) et je commence donc mes allers retours cadencé par la main de Gilbert.
La suite bientôt
Histoire postée par
Nicole le 20 Avril 2013 dans Exhibition.